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Pour la seconde année consécutive, le CSRS a célébré la journée internationale des droits de la femme le mardi 10 mars 2020.

Profitant de l’hebdomadaire pause-café qui a lieu chaque mardi, une brèche a été ouverte pour commémorer ladite journée. Ainsi, au-delà de l'hommage rendu aux femmes, cela a été l'occasion pour la direction générale du CSRS, les employés et chercheurs ainsi que les femmes du CSRS d'engager une véritable discussion sur les droits de la femme.

Lors de ces échanges, la nécessité d'une évolution du concept d'égalité à l'équité entre homme et femme dans le débat sur les droits de la femme s'est posée avec acuité. Par ce passage, la focale ne devra plus être sur un équilibre des capacités biologiques entre homme et femme, mais sur les questions de droits car, selon Prof Koné Brama "les femmes ne demandent que plus d'humanité".  

En outre, la voix des femmes du CSRS s'est également fait entendre pour à la fois égrener les difficultés rencontrées au quotidien dans leurs activités professionnelles et partager quelques doléances en vue d'améliorer leurs conditions de travail. Il s'agit notamment de briser le plafond de verre existant les activités professionnelles et la vie de famille par l'aménagement d'une crèche et un réaménagement horaire des mères nourrices.  

A son tour, le Directeur Général a salué l'engagement des femmes tout en rappelant que le CSRS est pionnière sur ces questions grâce à sa culture de l'excellence sans discrimination qui permet à celles-ci de s'exprimer et d'exprimer tout leur potentiel.

Quant aux doléances, la direction a assuré qu'elles seront intégrées dans le plan de rénovation des infrastructures. A la fin de la journée, il est ressorti que la cause de la femme est aussi celle de l'homme et vice-versa. Ils (l’homme et la femme) doivent donc agir de concert afin que celles-ci puissent pleinement s’épanouir dans la société.